Françoise MAYEUR

Françoise Paoli, épouse Mayeur, est née à Limoges en 1933 ; elle décède à Paris en juin 2006. D’origine Corse par son père, elle termine sa scolarité secondaire au lycée Marie-Curie à Sceaux avec l’ambition de poursuivre des études de lettres dans une classe préparatoire. Admise aux classes préparatoires au Lycée Lakanal, elle poursuit simultanément des études de lettres classiques à la Sorbonne. Suite au déménagement de ses parents à Lyon elle termine ses études en classes préparatoires au lycée de jeunes filles d’Edgar-Quinet avant de s’engager dans les études supérieures. Gravitant dans un milieu d’étudiants catholiques engagés, c’est l’historien Antoine Prost qui la présente à Jean-Marie Mayeur. Leur influence à tous les deux, comme celui de son professeur de khâgne, Jean Bruhat, furent sans doute déterminant dans son orientation vers l’histoire.

Elle se marie en 1957 avec Jean-Marie Mayeur, spécialiste de l’histoire religieuse et professeur d’histoire à l’Université Paris IV-Sorbonne, le couple a eu trois enfants. L’une de leurs filles, Catherine Mayeur-Jaouan, historienne comme ses parents, est spécialiste du monde arabe.

Rédacteur prinicpal : 
Rebecca Rogers
Champ disciplinaire : 
Histoire
Elements biographiques
Nationalité : 
Française
Pays d'exercice : 
France
Origines géographiques : 

D’origine Corse par son père.

Confession : 

Elle gravite dans un milieu d’étudiants catholiques engagés.

Autres éléments biographiques : 

Gravitant dans un milieu d’étudiants catholiques engagés, c’est l’historien Antoine Prost qui la présente à Jean-Marie Mayeur. Leur influence à tous les deux, comme celui de son professeur de khâgne, Jean Bruhat, furent sans doute déterminant dans son orientation vers l’histoire.

Elle se marie en 1957 avec Jean-Marie Mayeur, spécialiste de l’histoire religieuse et professeur d’histoire à l’Université Paris IV-Sorbonne, le couple a eu trois enfants. L’une de leurs filles, Catherine Mayeur-Jaouan, historienne comme ses parents, est spécialiste du monde arabe.

Scolarité : 

Elle termine sa scolarité secondaire au lycée Marie-Curie à Sceaux avec l’ambition de poursuivre des études de lettres dans une classe préparatoire. Admise aux classes préparatoires au Lycée Lakanal, elle poursuit simultanément des études de lettres classiques à la Sorbonne. Suite au déménagement de ses parents à Lyon elle termine ses études en classes préparatoires au lycée de jeunes filles d’Edgar-Quinet avant de s’engager dans les études supérieures.

Activités professionnelles

Carrière universitaire

Etudes supérieures : 

Reçue seconde à l’Ecole Normale Supérieure de Sèvres en 1954, elle prépare une licence d’histoire, puis un diplôme d’enseignement supérieure (DES) sous la direction de Pierre Renouvin. En 1958 elle passe l’agrégation d’histoire, admise 3e, elle commence une carrière de professeur de lycée.

Thèse : 

Thèses

En février 1964, elle soutient à l’université de Paris-IV une thèse de troisième cycle intitulé, L’Aube, étude d’un journal d’opinion (1932-1940), sous la direction de Pierre Renouvin.

Sa thèse d’État sur l’enseignement secondaire des filles est soutenue en 1976 également à l’Université de Paris IV, sous la direction de Louis Girard. Il est publié en 1978 à la Fondation nationale des sciences politiques, comme la thèse de troisième cycle.

Postes occupés : 

Sa carrière dans l’enseignement supérieur commence en 1964 alors qu’elle est encore doctorante.

  • 1966 chargée de cours d’histoire contemporaine université de Nanterre,
  • 1967 assistante d’histoire université de Nanterre,
  • 1968 maître assistant d’histoire université de Nanterre
  • 1972-1976  détachée au CNRS.
  • 1976 professeur en sciences de l’éducation université de Lille III
  • 1990 professeur d’histoire contemporaine université de Paris IV-Sorbonne
  • Départ à la retraite en 1998
Responsabilités scientifiques et institutionnelles : 

À L’université Lille III, Françoise Mayeur crée le département de sciences de l’éducation.

  • membre du comité de rédaction de la revue Histoire d’éducation (1987 à  2006)
  • membre du Conseil scientifique de l’INRP (1993-1997)

Autres  (collectionneur, enseignant du secondaire, écrivain, médecin, etc.)

Professeur au lycée de jeunes filles de Strasbourg en 1958, puis au lycée mixte d’Ivry et  celui de Chatenay-Malabry, jusqu’en 1967.

Champ chronologique
Champ chronologique : 
XIXe-XXe
Perspectives critiques et méthodologiques

Domaines de recherche, problématiques, méthodologie

Grande spécialiste de l’histoire de l’éducation des filles, ses recherches sur  l’enseignement secondaire des jeunes filles ont constitué l’une des premières thèses d’État dans le champ de l’histoire des femmes en voie d’émergence dans les années 1970. Par la suite, elle a contribué au développement et à l’essor d’une histoire sociale de l’éducation, attentive à l’ensemble des facteurs religieuses, familiales, ou politiques qui détermine les formes d’éducation et l’accès à la scolarité.

Objets d'étude
Thèmes : 

Outre ses travaux sur l’enseignement public et privé des jeunes filles au XIXe et début du XXe siècle, elle a également apporté une contribution à l’histoire religieuse, par son étude du journal L‘Aube, proche du Sillon, et par son intérêt pour l’apport catholique et protestant dans l’enseignement des filles, notamment.

Bibliographie

Primaire

Ouvrages personnels : 
  • L’Aube, étude d’un journal d’opinion, 1932-1940. Préface de René Rémond, Paris, Armand Colin, (Cahiers de la Fondation nationale des sciences politiques n° 144), 1966, 236 p. (traduit en italien en 1969, Roma, Edizioni Cinque Lune).
  • L’Enseignement secondaire des jeunes filles sous la Troisième République, Paris, Fondation nationale des sciences politiques, 1977, 489 p.
  • L’Éducation des filles en France au XIXe siècle, Paris, Hachette, 1979, 208 p.
  • De la Révolution à l’école républicaine (1789-1930), Paris, Nouvelle librairie de France, 1981, 683 p. (tome III de l’Histoire générale de l’enseignement et de l’éducation en France), 2e éd., avec bibliographie refondue, Paris, Perrin, collection Tempus, 2004, 778 p.
Participation à des ouvrages collectifs : 
  • « Les catholiques libéraux et l’éducation des femmes », in Les catholiques libéraux au XIXe siècle, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 1974, pp. 421-440.
  • « Éducation et enseignement », in D. Johnson, F. Bédarida et F. Crouzet (dir.), De Guillaume le Conquérant au Marché commun, Paris, Albin Michel, 1979, pp. 221-234. (traduit en anglais : Britain and France, Ten Centuries, Folkestone, Dawes and Sons, 1980).
  • « Les protestants dans l’instruction publique au début de la Troisième République », in André Encrevé (dir.), Les protestants dans les débuts de la Troisième République (1871-1885), Paris, 1979, pp. 37-48.
  • « Dupanloup et Victor Duruy, le sens d’une polémique », in Monseigneur Dupanloup et les problèmes politiques de son temps, Actes du colloque organisé en octobre 1978 à Orléans par l’université d’Orléans, Bulletin de la Société archéologique et historique de l’Orléanais, 1980, pp. 49-63.
  • « L’enseignement secondaire et supérieur », in Guy Avanzini (dir.), Histoire de la pédagogie du XVIIe siècle à nos jours, Toulouse, Privat, 1981, pp. 195-213.
  • « Women and Elites from the Nineteenth to the Twentieth Century », in J. Howorth and Philip D. Cerny, London, Frances Pinter (eds), Elites in France, 1981, pp. 57-65.
  • « Une résistance avant la lettre : les nouvelles équipes françaises », in Églises et chrétiens dans la Deuxième Guerre mondiale, Lyon, Presses universitaires de Lyon, 1982, pp. 43-50.
  • « La stratégie de Jules Ferry dans le vote des lois scolaires », in Willem Frijhoff (dir.), L’Offre d’école, Éléments pour une étude comparée des politiques éducatives au XIXe siècle, Paris, Publications de la Sorbonne-INRP, 1983, pp. 245-251.
  • « La femme dans la société selon Jules Ferry », in Jules Ferry fondateur de la République, Actes du colloque organisé à la Sorbonne en janvier 1982 par l’E.H.E.S.S., 1985, pp. 79-87.
  • « L’évolution des corps universitaires (1877-1968) », in Christophe Charle et Régine Ferré (dir.), Le personnel de l’enseignement supérieur en France aux XIXe et XXe siècles, Actes du colloque organisé par l’I.H.M.C. et l’E.H.E.S.S. en juin 1984, Paris, Éditions du CNRS, 1985, pp. 11-27.
  • « Histoire de l’école et de ses représentations », in Enjeux scolaires, enjeux sociaux, Actes du colloque organisé par École et société, les revues Esprit, Intervention, Politique aujourd’hui, Projet, Raison présente et l’université de Paris-III en juin 1985, Paris, Seuil, pp. 16-27.
  • « L’éducation des filles en France au XIXe siècle : historiographie récente et problématiques », Problèmes d’histoire de l’éducation, Actes des séminaires organisés par l’École française de Rome et l’université di Roma-La Sapienza, janvier-mai 1985, Rome, École française de Rome, 1988, pp. 79-90.
  • « Les transformations de l’enseignement supérieur français, 1854-1914 », in À propos de l’histoire comparée de la France et de la Grande-Bretagne de 1750 à 1914, Actes du colloque franco-britannique, Paris octobre 1988, Paris, Comité français des sciences historiques, 1990, pp. 102-111.
  • « Fustel de Coulanges devant la guerre et la Commune : Notes inédites », in Philippe Levillain et Rainer Riemenschneider (dir.), La guerre de 1870-1871 et ses conséquences, Bonn, Bouvier Verlag, 1990, pp. 301-308.
  •  « L’éducation des filles : le modèle laïque », in Geneviève Fraisse et Michelle Perrot (dir.), pp. 231-248. Histoire des femmes. Le XIXe siècle, Paris, Plon, 1991, pp. 231-248, t. 4 de L’Histoire des femmes en Occident, Georges Duby et Michelle Perrot (dir.), (trad. de Storia delle Donne, Bari, Laterza, 1990).
  • « Naissance de l’étudiant en sciences et en lettres à la fin du XIXe siècle en France », in Mariusz Kulczykowski (dir.), Les étudiants – Liens sociaux – Culture, mœurs du Moyen Âge jusqu’au XIXe siècle, colloque international, Cracovie, mai 1987, Warszawa, Krakow, 1991, pp. 157-163.
  • « Léon Bérard, ministre de l’Instruction publique de Poincaré », in Journée Léon Bérard, colloque du 3 novembre 1990, Pau, Conseil général du Béarn, 1991, pp. 283-303.
  • « L’Éducation », chapitre XVIII du tome 3 : Sensibilités, de l’Histoire des droites en France, dir. par Jean-François Sirinelli, Paris, Gallimard-NRF, 1992, pp. 702-730.
  • « De Gaulle et l’Éducation nationale (1958-1969) », in De Gaulle en son siècle, Paris, La Documentation française, Plon, t. 3, 1992, « Moderniser la France », pp. 587-597.
  • « Comment l’enseignement sied aux femmes » in Anne-Marie Châtelet (dir.), Paris à l’école, Paris, Picard-Pavillon de l’Arsenal, 1993, pp. 56-63.
  • « Les femmes et l’enseignement en France au XIXe siècle », in Julie Daubié, Lyon, Centre Pierre-Léon d’histoire économique et sociale, Bulletin, 1993, 2-3, pp. 23-30.
  • « L’éducation des femmes en France au début du XXe siècle », colloque Louise Weiss, Association française des femmes diplômées des universités, Sénat, 20 novembre 1993, Diplômées, n° 168, 1994, pp. 13-19.
  • « David d’Angers historien de la France », in Yves-Marie Bercé et Philippe Contamine (dir.), Histoires de France, historiens de la France, Actes du colloque international, Reims, 14 et 15 mai 1993, 1994, pp. 252-266.
  • « Une école-sœur ? Sèvres » (sur l’École normale supérieure de jeunes filles, 1881-1986), in Jean-François Sirinelli (dir.), École normale supérieure. Le livre du bicentenaire, Paris, PUF, 1994, pp. 72-111.
  • « Les carrières de l’enseignement supérieur en France depuis 1968 », in Voyages en histoire, Mélanges offerts à Paul Gerbod, textes réunis par Claude-Isabelle Brelot et Jean-Luc Mayaud, Annales littéraires de l’université de Besançon, n° 550, 1995, pp. 71-88.
  • « Vers un enseignement secondaire catholique de jeunes filles au début du XXe siècle », in Gérard Cholvy et Nadine-Josette Chaline (dir.), L’enseignement catholique en France aux XIXe et XXe siècles, Actes du colloque organisé par la Société d’histoire religieuse de la France (Toulouse, 18-20 mars 1994) et de la journée d’étude de l’Association française d’histoire religieuse contemporaine (Paris, 24 septembre 1994), Revue d’histoire de l’Église de France, t. LXXXI, n° 206, janvier-juin 1995, pp. 197-205.
  • « La formation des institutrices avant la loi Paul Bert : les cours normaux », ibidem, pp. 121-130.
  • « Recherches historiques sur l’enseignement féminin », in Ephesia : La place des femmes. Les enjeux de l’identité et de l’égalité au regard des sciences sociales, Paris, la Découverte, 1995, pp. 581-586.
  • « L’éducation des filles de Falloux à Ferry », in Laurent Cornaz (dir.), L’Église et l’éducation. Mille ans de tradition éducative, Paris, l’Harmattan, 1995, pp. 233-244.
  • « L’Église catholique au XIXe siècle devant l’éducation et l’instruction », in Pédagogies chrétiennes, pédagogues chrétiens, colloque UCO Angers, 28-30 septembre 1995, Paris, Éditions Don Bosco, 1996, pp. 195-203.
  • « David d’Angers et les hommes de 1793 », in 1793, la Patrie en danger, Beauvais, 1993, Compiègne, Archives départementales de l’Oise, pp. 53-59.
  • « L’éducation des filles vue par l’Église catholique au début du XIXe siècle », in Guyonne Leduc (dir.), L’Éducation des femmes en Europe et en Amérique du Nord de la Renaissance à 1848, colloque sur l’éducation des femmes organisé par l’université Charles de Gaulle (Lille III), 28 mars-31 mars 1996, Paris, l’Harmattan, 1997, pp. 442-450.
  • « Les maîtresses de pension à l’époque de George Sand : tradition, identité féminine, expériences », in Michèle Hecquet (dir.), L’Éducation des filles au temps de George Sand, Arras, Artois Presse Université, 1998, 269 p., pp. 29-40.
  • « Les transformations institutionnelles », in Universités et Grandes écoles à Paris, Action artistique de la ville de Paris, 1999, pp. 25-31.
  • « L’Educazzione femminile nella Francia contemporanea : itinerari storiografici », in Gabriele Petrone (dir.), Storia dell’educazione in Francia. Temi, autori, testi, Cosenza, Jonia Editrice, 1999, pp. 155-168.
  • « Les mutations et les réformes de l’enseignement supérieur », in Jean-Claude Groshens et Jean-François Sirinelli (dir.), Culture et action chez Georges Pompidou, PUF, 2000, pp.  233-247.
  • « L’éducation des femmes en France du XIXe au XXe siècle », in Catherine Brosshart-Pfluger et alii, Genre et savoir – Geschlecht und wissen – gender and knowledge », Zürich, Chronos-Verlag, 2004, pp. 155-163.
  • « Liens de famille et alliances » in Jean-Marie Mayeur (dir.), Les Parlementaires de la Seine sous la Troisième République, Paris, Publications de la Sorbonne, 2006, pp. 25-35.
Articles : 

Articles principaux

  • « Les évêques français et Victor Duruy : les cours secondaires de jeunes filles », Revue d’histoire de l’Église de France, juil-déc. 1971, pp. 267-304.
  • « L’enseignement secondaire des jeunes filles (1867-1924) », Mouvement social, n° 96, juil.-sept. 1976, pp. 103-110 (exposé de soutenance du doctorat ès lettres).
  • « Le positivisme et l’école républicaine », Romantisme, n° 21-22, 1978, pp. 139-147.
  • « Garçons et filles du XIXe au XXe siècle : une éducation différente », Congrès international de psychologie de l’enfant, Paris, juillet 1979, Enfance, 1981, n° 1-2, pp. 45-52.
  • « Recent Views on the History of Education in France », European History Quarterly, vol. 14, 1984, pp. 93-102.
  • « Une réforme réussie de l’enseignement supérieur en France », Histoire de l’éducation, n° 22, mai 1984, pp. 3-18.
  • « À propos du centenaire du lycée Fénelon », Histoire de l’éducation, n° 26, mai 1985, pp. 67-73.
  • « Jeunesse en mouvements, réflexions sur l’histoire des mouvements de jeunesse », Histoire de l’éducation, n° 29, janvier 1986, pp. 3-20.
  • « Fustel de Coulanges et les questions d’enseignement supérieur », Revue historique, 1986-4, t. CCLXXIV-2, pp. 387-408
  • « L’enseignement supérieur français et son évolution au XXe siècle », Association japonaise d’histoire de l’éducation en France, juin 1988 (en japonais).
  • «  L’enseignement relatif aux États-Unis dans la tradition pédagogique française », Diplômées, n° 172, Jeunesse américaine, jeunesse française, jeunesse européenne, mars 1995, pp. 34-39.
  • « Un itinéraire en histoire contemporaine », Bulletin de la société des amis de l’École normale supérieure, n° 197, juin 1995, pp. 30-36.
  • « Sèvres, une institution originale pour l’éducation féminine (1881-1940) », Bulletin de la société des amis de l’École normale supérieure, n° 201, juin-juillet 1996, pp. 3-27.
  • « Quelques réflexions sur les mouvements de jeunesse protestants », Bulletin de la Société de l’histoire du protestantisme français, t. 143, juillet-août-septembre 1997, Sur les mouvements de jeunesse, études réunies par Gabrielle Cadier-Rey, pp. 327-334.
  • « Marguerite Aron », Association amicale de secours des anciens élèves de l’ENS, 1999-I, pp. 29-31.
  • « Madame Jules Favre, première directrice de l’École de Sèvres, 1834-1896 », Bulletin de la Société de l’histoire du protestantisme français, tome 149, 2003, pp. 437-448.
  •  « L’École de Sèvres, de sa fondation à la fusion avec l’École normale supérieure », Association amicale des anciens élèves de l’École normale supérieure, supplément historique, 2000, pp. 11-26.
Direction d'ouvrages et de numéros de revues : 

Direction d'ouvrage

En collaboration avec Jacques Gadille (dir.), Éducation et images de la femme chrétienne en France au début du XXe siècle, Actes des entretiens de La Combe, octobre 1978, Lyon, L’Hermès, 1980, 212 p.

Autre : 

Préfaces, notices

  • Notices « Agénor Bardoux » et « Affinités, mariages et alliances », in Jean-Marie Mayeur et Alain Corbin (dir.), Les Immortels du Sénat, Paris, Publications de la Sorbonne, 1995, pp. 29-36.
  • Articles « Alphabétisation », « Féminisme », « École » et « Universités », in Madeleine Ambrière (dir.), Dictionnaire du XIXe siècle européen, Paris, PUF, 1997.
  • Préface à « L’École des Roches, creuset d’une éducation nouvelle », Les Études sociales, n° 127-128, 1998, pp. 5-12.
  • Articles « L’Aube », « Temps présent », « Formation scolaire et intellectuelle de gauche », in Claire Andrieu, Philippe Braud, Guillaume Piketty (dir.), Dictionnaire De Gaulle, Paris, R. Laffont, 2006.

Articles de vulgarisation

  • « Aspects et signification d’une ségrégation : l’éducation féminine au XIXe siècle », Histoire Magazine, 1980.
  • « L’enseignement féminin en France du XIXe siècle à nos jours », A.F.A.E., Administration et éducation, 1983, n° 2, pp. 21-27.
  • « L’éducation féminine en France : un long passé et ses conséquences », Sévriennes d’hier et d’aujourd’hui, mars 1985, pp. 3-6.
  • « À l’école de Jules Ferry », Panoramiques, septembre 1998, pp. 43-46.

Secondaire

Hommages : 
  • Pierre Caspard, Jean-Noël Luc, Rebecca Rogers (dir.), « L’éducation des filles. XVIIIe-XXe siècles. Hommage à Françoise Mayeur », Histoire de l’éducation, 115-116, 2007, 277 p.
  • Yves Verneuil (dir.), L'enseignement secondaire féminin et l'identité féminine enseignante : hommage à Françoise Mayeur : actes de la journée d'études organisée le 8 juin 2007 au centre IUFM de Troyes / IUFM de Champagne-Ardenne, Reims, CRDP de Champagne-Ardenne, 2009.